Gardiens des cités perdues

J’ai 8 ans, mon grand frère sort de sa chambre et va supplier ma mère de lui acheter le livre suivant d’une série de livres Je vais lui demander quel est ce livre pour qu’il tienne autant à le lire. Il me répond : 

  • “Ce livre s’appelle Gardiens des cités perdues et c’est un de mes livres préférés ! 
  • Woua, il doit être vraiment très intéressant pour que tu l’aimes à ce point ! 
  • Oui, je le trouve passionnant et très bien écrit.  
  • Hmmm… Est-ce que nous avons le tome 1 ? 
  • Oui, je crois. Pourquoi ? Tu veux le lire.  
  • Oui, ça me tente.  
  • Je vais te le chercher, je reviens.” 

Un instant plus tard, mon frère revient avec un livre entre les mains. Il me le tend. Je le prends et regarde la couverture.  

Elle représente une fille blonde aux yeux bruns et un garçon brun aux yeux bleus sur un lampadaire du pont Alexandre III d’où émane d’une faille une lumière bleue. Les deux enfants portent un uniforme d’école et des capes retenues par des   broches en forme d’oiseau.  

J’attaque le tome 1. Le prologue est incompréhensible, mais plus je m’enfonce dans la lecture, plus le livre est passionnant et le suspense est immense. 

Ce livre, je continue à le lire dès que j’ai du temps à moi. Pour moi, c’est le meilleur livre que je n’ai jamais lu et pourtant j’en ai lu beaucoup. 

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