Le paquet de bonbons Stroumpfs

J’ai 7 ans et je suis en vacances en Italie. Il fait chaud et je vis vraiment ma meilleure vie. Je joue souvent au foot  avec mon père et mon petit frère. L’endroit où nous dormons est incroyable: des grands bungalows avec vue sur la mer, une immense piscine dans laquelle jaillit une énorme cascade artificielle d’au moins 170 mètres. Un jour, nous décidons d’aller au supermarché. C’est vraiment très grand et j’ai l’impression que le magasin est interminable. Il fait plutôt froid à cause de la clim et des réfrigérateurs. On achète beaucoup de choses pour remplir le grand frigo du bungalow. Les sacs débordent et mon père les portent tous. Je me dis qu’il est trop fort mon papa. 

Le soir en rentrant du supermarché, mon frère et moi entamons une petite partie de foot. Il fait très chaud alors la partie prend fin au bout d’une trentaine de minutes. Après avoir mangé le souper, ma mère veut nous donner à moi et mon frère un bonbon. Elle ouvre donc l’armoire et me dit :  

« -Je vais vous donner un bonbon qu’on a acheté au supermarché ! 

-Oh oui! merci beaucoup maman! je lui réponds tout heureux. » 

Elle ouvre le paquet d’Haribo en dévoilant des petits bonbons bleu et blanc en forme de schtroumpfs, et m’en donne un. Le goût vraiment super bon emplit toute ma bouche et je savoure ce délicieux moment. 

L’éléphant

C’est les vacances de Noël. J’adore Noël ! Papa et Maman disent que nous partons en Tasmanie et à Singapour. C’est mon troisième Noël et j’ai très hâte. 

Je suis à un endroit où il y a des objets volants on dirait des oiseaux en métal, géants. Il y a les parents de papa et les enfants de la sœur de papa. 

On se dirige vers l’oiseau et je suis sur les épaules de papa, il me dit que ça s’appelle un avion. Il fait nuit et je suis fatiguée, alors je dors sur le sol avec un pled sur mes épaules. Il y a de la lumière et du bruit. L’avion fait du bruit, c’est comme les orages, ça fait du bruit et ça fait peur. Mais ces bruits-là ne font pas peur, ils empêchent juste de dormir.  

Nous arrivons après 1 nuit de vol, je crois. Mon grand-père m’a dit que nous étions à Singapour et que nous allons rester seulement 2 jours.  

J’adore cette ville ! Nous visitons le centre dans une voiture “ amphibie “ (c’est ce qu’a dit papa) et la voiture commence à rouler dans l’eau et nous voyons la ville de plus loin. 

Aujourd’hui, nous avons vu des girafes dans un zoo, parc aquatique et on les a nourries de carottes, Thibaud avait les doigt plein de baves ! J’ai aussi vu plein d’autres animaux mais je ne me souviens plus des noms à part, des kangourous qu’on a nourri de graines dans nos mains.  

Je suis maintenant au parc aquatique. Nous sommes en maillot de bains et nous entrons dans l’eau. Papa fait plein de photos avec son nouvel appareil qu’il a acheté en France exprès pour les vacances. Le parc est grand et je suis petite, en taille et en âge. Dans le parc il y a : une espèce d’entrée avec deux seaux qui se remplissent et qui se vident après dans le bassin, un champignon qui arrose les enfants en forme de paume de douche et enfin, L’ELEPHANT ! IL est gigantesque ! C’est un grand seau avec juste sa tête sur le devant et qui se rempli comme les seaux à l’entrée mais sauf que lui, il se remplit beaucoup et quand il se vide ça crée un tsunami ! Mais ce n’est pas tout, il y a aussi des escaliers pour monter tout en haut et se situer juste en-dessous de l’éléphant et être en sécurité. Arrivé tout en haut, tu peux t’élancer dans un toboggan fermé qui tourne dans tous les sens.  

J’ai très peur de cet éléphant alors je reste loin de lui et je m’amuse avec les seaux d’eau à l’entrée, proche des parents.  

A un moment, Thibaud vient me chercher et me dit que je n’ai rien à craindre en étant avec lui et que nous allons monter faire du toboggan. J’ai très peur, mais une fois en haut je me sens en sécurité. Le problème est que si je prends le toboggan comme moyen de sortie, à l’arrivée, je risque de me prendre toute l’eau du tsunami… Mais je ne peux pas faire machine arrière et redescendre par les escaliers, une file d’enfants attend de pouvoir faire du toboggan.  

Thibaud me prend sur ses genoux et nous descendons à toute vitesse dans le toboggan. Nous arrivons au bout du tunnel, l’éléphant renverse son seau d’eau sur nos têtes et à ce moment-là, je me rends compte que ce n’est pas si terrible que ça. Alors je reste avec mes frères et mes cousins vers le toboggan et n’ai plus peur de lui.  

Ce matin, nous prenons “l’avion” comme dit papa et cette fois-ci, nous partons en direction de la Tasmanie. Nous arrivons à Launceston. 

Avec ma famille nous parcourons toute la Tasmanie, il y a tellement de choses, mais si je racontais tout ce que je vois, cela me prendrait des semaines !  

Ce soir, j’entends mes parents parler, ils prévoient sûrement de s’installer en Tasmanie à Hobart, faire leur propre pâtisserie, boulangerie et vendre tout ce qu’ils ont en France. Puisque c’est une grande ville (et nous l’avons d’ailleurs visitée), ce serait mieux de s’installer là-bas que dans un trou paumé comme dit maman, pour avoir plus de clients. Moi, je veux bien qu’on emménage dans cette grande ville. J’aime bien la Tasmanie comme Singapour. J’espère que quand on vivra à Hobart, je pourrais aller au parc aquatique dans lequel on est allé, tous les jours à Singapour, je suis persuadée que ce n’est pas loin.  

Après plusieurs jours en Tasmanie, nous rentrons en France, quittons grand-père, grand-mère, les cousins et rentrons à la maison. 

Finalement, nous restons en France, et papa et maman ont abandonné l’idée de changer de métier et de partir à l’autre bout de la France. Mais veulent toujours avoir leur boulangerie, pâtisserie. J’espère aller dans d’autres pays pour Noël prochain et les autres. 

Le miroir

Papa et maman accueillent des amis à eux. C’est une amie et une collègue de maman et c’est l’après-midi. Il y a des enfants avec elle. Maman me présente son amie, elle s’appelle Sonia. Il y a un garçon qui à l’âge de Thibaud et un autre qui à 1 an de plus que moi, 6 ans. 

Les adultes se dirigent vers la cuisine, boivent du café et parlent entre eux. Je ne comprends aucun mot de ce qu’ils disent.  

Thibaud et Vincent ont décidé de jouer à cache-cache avec les invités. J’adore cache-cache, on y joue souvent avec Thibaud et Vincent.  

Puisque Thibaud est le plus âgé, il compte en premier pendant 30 secondes. J’ai le temps de me cacher derrière une porte mais malheureusement, je suis trouvée la première… 

Après plusieurs parties, mes frères se taquinent. Alors Vincent va se cacher sous l’un des meubles chinois de papa et de maman. Apparemment, ils sont allés à Hong-Kong une fois et ils ont achetés plein de meubles et d’objets. C’était quand ? Chépa. 

Tout ce que je sais c’est que Thibaud veut le chatouiller. Vincent est déjà presque complètement sous le meuble et en se tortillant, son pied touche le miroir qui est contre le mur. Le miroir tombe sur ma tête. Je pleure, j’ai une bosse sur la tête, les adultes viennent me voir et maman va chercher de la crème avec une poche de glace où il y a un personnage de Monsieur Madame. J’adore les Monsieur Madame. Alors je me calme et je regarde attentivement la Madame. Elle ne pleure pas elle, elle sourit à pleines dents. J’ai vu que j’ai une petite bosse sur la tête et que c’est écorché. Je ne veux pas aller à l’hôpital ! 

La peluche husky 

  Aujourd’hui c’est jour de mes 5 ans, je suis vêtue d’une jolie robe rose qui me va à ravir. Je suis assise sur le lit de mes parents en compagnie de ma grande sœur. Pendant que mes parents vont chercher mes cadeaux, je réfléchis à ce que je pourrais recevoir. Il y a bien quelque chose que je veux avoir : un chien comme celui de mon amie Stella. Un… un… je ne me souviens jamais du nom mais c’est un gros chien tout poilu. Bien sûr je doute que l’on m’offre un chien car j’ai deux chats et que mes parents m’ont assez répété qu’un animal n’est pas un objet ni un cadeau. Je suis inquiète, je ne veux pas être déçue de mes cadeaux. Les minutes passent, j’attends depuis une éternité. Mes parents arrivent enfin, les bras chargés de paquets cadeaux. Je commence à les déballer, pour l’instant je ne suis pas déçue, mais pas de chien en vue. J’ai fini d’ouvrir mes cadeaux. Je suis très contente et je remercie mes parents. Mais ils m’arrêtent et me tendent un dernier cadeau. Je suis soucieuse, ça ne peut pas être un chien car l’emballage est trop petit. J’ouvre délicatement le dernier paquet et ce que je vois m’envahit de joie. C’est une peluche identique au chien de mon amie ! Un sourire illumine mon visage. Mon père me demande : 

  • “Alors ça te plaît ? 
  • Oui ! Merci beaucoup, chuis trop contente !” 

Je vais l’emporter partout avec moi-même à l’école et je vais l’appeler Lucky comme le chien de mon amie.  Maintenant me souviens du nom de la race ; c’est un husky le chien de mes rêves.   

La pive

J’ai 7 ans au moment des faits. C’est un après-midi d’été, mes parents finissent de manger et avec mon frère on s’ennuie. Nous décidons de jouer dans le jardin, on joue à plein de jeux mais quand on finit de jouer on se re-ennuie. Et puis on a cette idée: lancer des pives sur les voitures et courir. On ramasse donc toutes les pives que l’on voit. On se cache derrière un buisson à côté de chez moi et on lance les pives sur les voitures qui passent. Quelle mauvaise idée! Une voiture s’arrête et le conducteur sort. Il cherche la provenance de la pive. Mon frère et moi avons peur; nous courrons aussi vite que possible pour rentrer chez nous. Mais le monsieur nous court après et nous attrape. Il nous fait la morale et souhaite voir nos parents. Les petits enfants fragiles que nous sommes le ramenons chez nous. Il parle avec nos parents et pars. Après son départ, nos parents nous font une grosse morale. C’était quand même drôle. 

Ma paire de skis

Je skie à Villars avec mon père, puisque je ne suis pas très fort cette saison. Mais je suis heureux car je vais pouvoir tester mes nouveaux skis que je trouve trop beaux. Ils sont bleu jaune et un peu blanc. Bref, mon père qui connait bien la région m’emmène dans tous les meilleurs coins de la station. Et j’adore, car les pistes sont longues et assez faciles. Je fais niiiiion d’un côté et niiiiiiiiiiooooon de l’autre. Et une fois à la moitié mon père me dit : 

  • « Ça va ? pas trop fatigué ? 
  • Oui ! C’est trop bien ici ! 
  • Alors on va dévaler cette piste, puis on va prendre le télésiège pour encore deux, trois pistes, me répond-il. » 

 Je lui réponds ok car bien que je dise que je vais bien skier, ça fatigue un peu. Alors on fait les deux-trois pistes puis on prend le chemin pour rentrer. Comme je vais vite, mais pas assez par rapport à mon père. Il me pousse. Puis vient le point de non-retour. Mon père me laisse aller devant car si je tombe il pourra toujours me rattraper. Mais le problème c’est que je tourne au moment où il ne faut pas tourner ! Donc mon père me rattrape et me lance : 

  • « Oh! mais fallait pas tourner là Enzo ! Ce n’est pas grave, mais ça va être long tout ça ! » 

Alors on skie en hors-piste, à côté de chalets et même sur la route. Et une fois arrivés au village de Villars, mon père me demande d’attendre le temps qu’il arrive avec la voiture. Alors j’attends, j’attends et j’attends. Après 25 minutes passées à m’ennuyer, mon père arrive enfin pour partir chez nous. Et plus j’y pense, plus je me dis que c’était cool. Car j’ai bien appris à skier, j’ai embêté mon père et ça, ça me fait toujours rigoler et maintenant je risque plus de me tromper en allant à Villars. 

Le maillot de la Juve  

On est en 2019. J’ai 11 ans. C’est un match décisif : Juventus contre Fiorentina. Si la juve gagne, elle sera première de série a et si elle est première, elle sera de toute façon qualifiée pour la champions league 2020. 

Grâce à un cousin qui habite à Turin, je suis au match et tellement heureux d’assister à un match en vrai. Le match débute, les deux formations sont en 442. Il y a tant de légendes: Matudi, Pjanic, Ronaldo… 

A la 6eme minute, Milenkovic marque pour la Fiorentina, je suis super triste. 

Les chants des supporters turinois et ceux de Fiorentina se lancent des insultes de temps en temps. 

Et bien sûr, les supporters de Fiorentina ne se laissent pas faire et les insultent en retour… 

Je commence à perdre espoir. 

Mais à la 37ème minute, sur un corner magnifique, Alex Sandro fait une sorte de tête plongeante et marque petit filet. 

Je hurle:“- Ouiiiiiiii! Incroyaaaaaable!!!” 

– T’as vu ça?!m e répond mon père. 

–  Oui, il a fait une tête plongeante à la Van Persie !!! bien sûr j’exagère.” 

Le reste de la première période reste tendu: 

“-Les supporters de la Fiorentina bizarrement parlent beaucoup moins, dis-je en rigolant.” 

C’est la mi-temps et tout le stade se calme. On va boire un coca et manger un hot dog à la buvette du stade.  

La mi-temps est si longue. Je suis trop impatient, mais j’ai quand même un peu peur. La mi-temps reprend au bout de 15 minutes comme d’habitude. Puis à la 53ème minute sur un but que personne n’a compris et qui s’avère en fait être un auto-goal, la Juve marque. Il faut 5 secondes à tout le stade pour réagir et hurler…puis jusqu’à la fin du match, les actions s’enchaînent mais aucune n’aboutit. Les trois coups de sifflets retentissent. Les supporter de la Juve hurlent. C’est génial. À la fin du match je sors et j’enlève mon pull au vu de la chaleur et je vois mon maillot de la Juve. Je suis fier d’avoir gagné et de supporter la meilleure équipe. Je rentre à l’hôtel. 

Ma belle-mère

J’ai 3 ans, je vais chez mon papa et je vois qu’une femme est dans la voiture avec mon papa. 

Mon père me dit : «  – Félix je te présente Nadia, ta belle-mère « et je lui dis : “C’est ma deuxième maman ? avec un ton pas très rassuré. – Ui, me répond-t-il. “ Et je me dis qu’elle va être trop sympa. 

Arrivés à la maison, je demande si elle va dormir à la maison avec nous. C’est bien parce que Nadia me demande si je veux qu’elle me fasse des cookies et je dis « ui!!!!« . Mais je n’espère pas qu’elle me fasse des cookies au chocolat blanc parce que c’est beurk le chocolat blanc même plus beurk que les épinards. Heureusement ce sont les meilleurs cookies que j’ai mangés de toute ma vie et je dors comme chepa qui cette nuit-là. 

J’ai sept ans maintenant et ma belle-mère est à l’hôpital car elle va accoucher. Mon père nous appelle ma sœur et moi et nous dit de venir demain. Il est 9h tapante et je dis à ma sœur « Bouge-toi les fesses Oli !!!« On part à l’hôpital et je vois pour la première fois ma petite sœur Lola, elle est trop bien, je joue avec elle et je l’adore mais quelques jours plus tard ma belle-mère commence à m’engueuler comme chepa quoi et je pleure dans ma chambre. Elle se met aussi à crier sur Tom mon frère et Oli ma sœur et depuis elle nous enguirlande un week-end sur deux…

L’eau de Javel

J’ai 11 ans, c’est l’été 2019, les grandes vacances d’été, et je suis avec mon ami Ilyeas. On se balade souvent le jour en trottinette électrique. En passant par un terrain de jeu, Ilyeas frôle un nettoyeur de vitre sur une sorte de petite grue en trottinette. Le nettoyeur commence à gronder mon ami pour presque rien. 

Puis nous rentrons à la maison, il est 16 heures. 

-”Nico, tu te souviens du nettoyeur ? 

-Celui qui t’a grondé ? 

-Ouais celui-là, viens on se venge, me dit-t-il. 

-Je suis partant.” 

Nous partons avec nos trottinettes au milieu de la nuit. La lune est pleine. Sans mentir, j’ai très peur, mais comme il insiste, je n’ai pas d’autre choix que de le suivre. 

Arrivés au terrain, nous apercevons tout de suite la sorte de petite grue et nous voyons les produits de nettoyages. Une idée de vengeance traverse soudain l’esprit de mon ami. Il prend un des cinq gallons d’eau et il le renverse en entier dans le moteur de la grue. 

Au même moment, je me suis dit “quel génie” et je commence à le suivre dans son idée diabolique. Un premier gallon est renversé, puis le deuxième et le troisième. Une odeur de pourri prend le dessus. On craint alors que ça explose et on enfourche vite fait nos trottinettes. On roule au plus vite qu’on peut. 

Le lendemain, on va comme d’habitude faire la promenade en trottinette, on voit le nettoyeur rouge de rage en train de pousser la petite grue. Il tourne la tête d’un coup sec vers nous et commence à courir. Une deuxième fois, nous roulons à la vitesse maximum. Pendant la course, un éclair de génie me passe par la tête. 

-”Le bâtiment de l’UAPE, je lui crie. 

-Je te suis, dit-t-il.” 

Nous sommes actuellement cachés dans la garderie de l’UAPE, dans le sous-sol. 

Ma play station

Je suis sur le canapé en train de regarder un dessin animé. J’ai huit ans. Ma mère revient du supermarché avec deux gros sacs de nourriture remplis à bloc, mais elle tient aussi une grosse boîte bleue, rectangulaire. Je cours pour l’aider mais elle refuse. Je vois bien qu’elle cache quelque chose. 

  • ”Je peux t’aider ? je demande. 
  • Non, ce n’est pas la peine. Me répond-elle sèchement. Tu ne le fais jamais de toute façon, ajoute-t-elle en rigolant. 
  • Ce n’est pas vrai, je lui rétorque avec un petit sourire car j’ai compris que la boite qu’elle trimbale doit être pour moi.” 

J’ai raison! C’est une magnifique console de jeux, plus précisément une PlayStation 4. Elle est sur le marché depuis environ deux ans. 

Je suis impatient de l’ouvrir, de mettre un casque et de m’amuser jusqu’à pas d’heure. Je ne réalise pas encore que ce n’est pas si simple que ça. 

Avec mon père, on galère, on galère un bon moment avant de réussir à la faire fonctionner. Au moment de créer un profil, je le laisse faire car je n’ai pas encore d’adresse e-mail à mon âge, je n’ai même pas encore de téléphone. 

Quand tout est prêt, on me demande un nom d’utilisateur. Mais comme je n’ai vraiment aucune imagination je décide juste de mettre mon prénom suivi de mon deuxième prénom et encore suivi de mon année de naissance. Cela donne au final : ilhanbeat2009. Puis je peux installer FIFA 17 car j’adore le foot et le jeu le plus connu du moment: Fortnite Battle Royal. 

Chaque jour, j’essaie de trouver du temps pour jouer avec mes amis. J’adore jouer à la PS4. Mais j’aime pas quand on me dit que je dois arrêter alors que je suis en pleine partie. Parfois je rage beaucoup trop vite, je vais finir par casser des manettes. Mais jamais je pourrais rager sur la console elle-même. Elle est beaucoup trop importante.